Saturday, December 15, 2007



































H.M. King Bhumibol Rama IX of ThailandThe World's Longest Serving Monarch








During this month of December, on the 5th to be exact, Thailand's revered Monarch, His Majesty King Bhumibol, will celebrate his 73rd Birthday. It will be a day of national celebration, rejoicing, prayers and thanksgiving for such is the high esteem the Thai people hold for their King. And who is this man -- His Majesty King Bhumibol, Rama IX of the Chakri Dynasty of Thailand?
As a European (and honored by the invitation to write this tribute), I first saw King Bhumibol just over 10 years ago. Not in person, of course, but his likeness. It was on Thai bank notes which I had purchased in my home country prior to making my first visit to Thailand. Since then I've spent a lot of time in this country learning something of it, its people and its ruling King.
King Bhumibol was born on 5 December 1927 in Massachusetts, U.S.A. At that time his father and mother, Prince and Princess Mahidol of Songkhla (who was to become the Princess Mother), were both taking medical related degrees at Harvard University and Summons College respectively. As it happened, the young Prince Bhumibol was not born for Kingship -- he was the youngest of his parents' three children so, as "baby of the family" he was welcomed by his elder brother and sister as well as mother and father. At this time it was elder brother, Prince Ananda, who was destined to carry the heavy mantle of Kingship.
Sadly, young Prince Bhumibol's father, Prince Mahidol, prematurely passed away. That left his mother, Princess Mahidol of Songkhla to raise the young family. She transferred her family to Switzerland where they lived while the children furthered their education.
And thus it happened, in 1935, the young Prince's elder brother became H.M. King Ananda, Rama VIII, of Thailand. This was after the abdication of his uncle, King Prajadhipok. In some ways the situation was comparable to the succession to the British Crown of King George VI after the abdication of Edward VIII. So, when Prince Bhumibol was approximately 8 years old his elder brother ascended the Thai Throne while the younger Prince continued his upbringing in Switzerland.
By this time, Prince Bhumibol was already multilingual and was showing great aptitude for, and displaying, other talents such as the enjoyment of music, nature and the environment and was a budding photographer -- now a lifetime's passion!
The Prince, fast growing up, became fascinated by "what makes things work" and was studying engineer ing at a Swiss University when in 1946, an event happened which changed the course of the Prince's life and that of his nation, Thailand. His elder brother, King Ananda, died in tragic circumstances and the Royal Robes of Kingship fell to the young, inexperienced shoulders of Prince Bhumibol. The Prince was 18 years of age when he became His Majesty, King Bhumibol Adulyadej, Rama IX, of the King of Thailand.
It was important, and eminently sensible, that the new King finished his formal education and so his Coronation was delayed some four years to allow this to happen. An engineering degree was superceded by a political sciences major and, in other areas too, the new King had been busy. One year prior to his Coronation, King Bhumibol had become engaged to Mom Rajawongse Sirikit Kittiyakara daughter of a Thai diplomat and herself of Royal Blood. On the 28th April 1950 the Royal Couple married and, one week later on the 5th May, King Bhumibol was crowned Monarch of the Kingdom of Thailand with full pomp and ceremony.
Now, some 50 years after his coronation, H.M. King Bhumibol, Rama IX of Thailand is the longest serving Monarch in the world. And, it can be suggested, probably the Monarch most respected by his subjects. King Bhumibol has carried the mantle of Kingship humanity. He is a Monarch not only of the Thai people but for the Thai people. He knows their needs and wants -- and has the perception to understand that they are not always the same. As a Constitutional Monarch King Bhumibol has only three "rights": the right to encourage, the right to warn, and the right to be consulted. Within these parameters H.M. The King has led, helped and guided his people of Thailand -- be they military generals, governing politicians or rural farmers -- to a better understanding of each other and to a more wholesome future for all. Of course, there have been upsets and blights, both political and natural, but thanks to the King's gentle--handed diplomacy, or firm warning when needed and, especially, his love of his people and nation, good order and sustainable growth are the hallmarks of Thailand today.
His Majesty King Bhumibol Adulyadej, Rama IX, is well regarded by his subjects as "The Light of Thailand." That as a young Prince not expecting ever to be monarch, the King has displayed a most remarkable wisdom and talent for this most onerous of "jobs." May he reign long and may we, at "Welcome to Chiangmai & Chiang Rai" magazine wish him a Wonderful, Healthy and Happy 73rd Birthday on the 5th December. LONG live the King !

Monday, November 26, 2007


Stylo

Le stylo est un outil servant à écrire, à dessiner. Son avantage est de posséder sa propre réserve d'encre. Le terme stylo est l'apocope du terme originel stylographe, il a progressivement remplacé le porte-plume. Le mot est attesté en Grande-Bretagne dès 1882 mais ne fut utilisé en France qu'à partir de 1907. Il ne figure cependant pas encore dans le Larousse élémentaire illustré de 1918. On parlait plus couramment à l'époque de porte-plume réservoir.
Au fil des années, plusieurs modèles ont reçu ce nom :
le stylo-plume ;
le stylo-bille.
Le stylo sert aussi d'outil en jonglerie, le niveau technique de la manipulation de stylo est en constante progression au niveau international



Histoire

À l'origine étaient les tablettes gravées avec un clou ou un burin. Le premier outil que l'on pourrait rapprocher du stylo est le calame arabe constitué d'un roseau taillé dans lequel l'encre s'écoule le long d'une petite fente. Au Moyen Âge, la plume d'oie lui est préférée par les moines copistes.
A la fin du XIXe siècle, la plume d'oie est remplacée par la plume métallique. Avec son porte-plume, la plume métallique dont la plus connue en France est la plume Sergent-Major se diffuse dans les écoles. Le stylo a ensuite continué à évoluer techniquement : le problème du réservoir d'encre est résolu partiellement par Waterman.
Après sa mise au point en 1938, la diffusion massive du stylo-bille dès 1952 a fortement démocratisé l'utilisation du stylo. Il est autorisé dans les écoles françaises dès 1965. Le gros Bic 4 couleurs est quant à lui mis au point en 1970.

Wednesday, October 31, 2007

Formicidae

Les fourmis (famille des formicidés — Formicidae — ) sont des insectes sociaux formant des colonies, appelées fourmilières, parfois extrêmement complexes, contenant de quelques dizaines à plusieurs millions d'individus. Certaines espèces forment des « colonies de colonies » ou supercolonies. Les fourmis sont classées dans l'ordre des hyménoptères, comme les guêpes et les abeilles. Les termites, parfois appelés fourmis blanches sont de l'ordre des isoptères. Ils ne sont donc pas des fourmis, bien qu'ils leur ressemblent.


Description
Les premières fourmis connues seraient apparues à la fin du Crétacé[1] et seraient une évolution des guêpes du jurassique. Morphologiquement, elles se distinguent des autres insectes principalement par des antennes avec un coude marqué et par un pédoncule en forme de perle formé des premiers segments abdominaux (qui sont joints au thorax chez les guêpes). Ce pétiole intercalé donne à l'abdomen une plus grande mobilité par rapport au reste du corps(c'est la forme du pétiole qui permet de déterminer l'espèce de la fourmi à coup sûr). À l'exception des individus reproducteurs, la plupart des fourmis sont aptères (sans ailes).
Elles se sont adaptées à presque tous les milieux terrestres et souterrains (on en a trouvé jusqu’au fond d’une grotte de 22 km de long en Asie du Sud est), sans toutefois avoir colonisé les milieux aquatiques et les zones polaires et glaciaires permanentes.
Les œufs sont pondus par une ou parfois plusieurs reines (bien qu'il existe des fourmis sans reine;les espèces de fourmis possédant une seule reine sont appelées monogynes et celles possédant plusieurs reines sont dites plurigynes), et la plupart des individus grandissent pour devenir des femelles aptères et stériles appelées ouvrières. Périodiquement, des essaims de nouvelles reines et de mâles, généralement pourvus d'ailes, quittent la colonie pour se reproduire. Les mâles meurent ensuite rapidement, tandis que les reines survivantes, fécondées, fondent de nouvelles colonies ou, parfois, retournent dans leur fourmilière natale.

Comportements
Les fourmis possèdent un comportement que l'on retrouve par exemple chez les abeilles, consistant à rassembler un grand nombre d'individus afin de créer une colonie fonctionnelle et rapide.
Communication
La communication entre les fourmis se fait surtout au moyen de produits chimiques volatiles appelés phéromones, émises par diverses glandes, parfois dans une substance lipophile qui recouvre naturellement tout le corps de la fourmi. Comme d'autres insectes, les fourmis sentent avec leurs antennes. Celles-ci sont assez mobiles, ayant — comme mentionné plus haut — une articulation coudée après un premier segment allongé (le scape), leur permettant d'identifier aussi bien la direction que l'intensité des odeurs. Ce système d'orientation olfactif est combiné avec des composantes visuelles (points de repère, position du soleil), capacité à mesurer la distance parcourue.
L'utilisation principale des phéromones réside dans la définition et le repérage de « pistes » olfactives destinées à guider les fourmis vers des sources de nourriture (voir ci-dessous). Les phéromones sont aussi mélangées avec la nourriture échangée par trophallaxie, informant chacune sur la santé et la nutrition de ses congénères. Les fourmis peuvent aussi détecter à quel groupe de travail (par exemple le fourragement ou la maintenance de nid) l'une ou l'autre appartient. De même, une fourmi écrasée ou attaquée produira une phéromone d'alerte dont la concentration élevée provoque une frénésie agressive chez les fourmis à proximité ou dont une concentration plus faible suffit à les attirer. Dans certains cas, les phéromones peuvent être utilisées pour tromper les ennemis, ou même pour influencer le développement des individus. Ainsi, la reine produit une phéromone spéciale en l'absence de laquelle les ouvrières commenceront à élever de nouvelles reines.
Certaines fourmis émettent des sons, on parle alors de stridulations (friction de la râpe, formée d'un alignement de côtes, de stries, de dents, d'épines, et du grattoir, qui consiste en une saillie ou un bord vif, qui produit la stridulation, un peu comme le ferait un clou grattant sur une lime ou l'ongle passant sur les dents d'un peigne). Ces sons permettent alors d'attirer d'autres ouvrières pour, par exemple, porter une proie trop lourde pour un individu isolé. Cette méthode est toutefois moins efficace que la piste de phéromones, comme l'a montré G.D dans sa fameuse expérience du même nom.
D'autres utilisent aussi la communication visuelle, de moins en moins répandue. Chez les Tetraponeras par exemple, lorsque les larves ont un besoin en nourriture, elles remuent simplement la tête pour que, rapidement, une ouvrière intervienne pour lui ingurgiter de la nourriture liquide de bouche à bouche. Chez les Tisserandes, lorsqu'une ouvrière se lance dans la construction d'un nouveau nid, elle commence par agripper une feuille pour la courber. Elle sera immédiatement rejointe par son entourage qui aura aperçut la scène et qui l'aidera dans sa tâche. C'est ainsi qu'elles pourront rejoindre les bords de deux feuilles pour les tisser entre elles.

Comportement collectif
Les fourmis attaquent et se défendent en mordant et, pour certaines espèces, en projetant de l'acide formique (fomicinae) qui fait fondre la chitine des insectes, ou d'autres substances pouvant engluer un adversaire, ou encore en piquant à l'aide d'un aiguillon (qui chez quelques espèces reste piqué avec la glande à venin dans la peau de la victime).
Chez la plupart des espèces, la colonie a une organisation sociale complexe et est capable d'accomplir des tâches difficiles (exploiter au mieux une source de nourriture, par exemple). Cette organisation apparaît grâce aux nombreuses interactions entre fourmis, et n'est pas dirigée -- contrairement à une idée répandue -- par la reine. On parle alors d'intelligence collective, pour décrire la manière dont ce comportement collectif complexe apparaît, grâce à des règles individuelles relativement simples.
Dans les colonies de fourmis, le « comportement global » n'est donc pas programmé chez les individus, on dit qu'il émerge de l'enchaînement d'un grand nombre d'interactions locales entre les individus et leur environnement.
Un exemple classique de comportement collectif auto-organisé est l'exploitation des pistes de phéromones. Une fourmi seule n'a pas l'intelligence nécessaire pour choisir le plus court chemin dans un environnement complexe. De fait, c'est la colonie dans son ensemble (du moins, les individus impliqués dans le fourragement) qui va choisir ce chemin.
En 1980, Jean-Louis Deneubourg a pu vérifier expérimentalement qu'une colonie de fourmis (de l'espèce Lasius niger) disposant de deux chemins de longueurs différentes pour rallier une source de nourriture, choisissait plus souvent le chemin le plus court. Il décrit ainsi ce phénomène

Si l'on considère plusieurs chemins pour se rendre sur le lieu d'approvisionnement, on comprend que les individus empruntant le plus court reviendront plus vite à la fourmilière que ceux qui auront pris le plus long. C'est ainsi que ce chemin comportera une trace olfactive de plus en plus forte par rapport aux autres et sera donc préféré par les fourmis.
On connaît depuis d'autres exemples de ce type, comme la construction du nid, la répartition du couvain dans celui-ci, l'entassement des cadavres de la colonie, l'organisation en « supercolonies », etc.

Sunday, September 9, 2007

Snoopy

Snoopy être un fictif caractère dans le long comique dépouiller arachide, par Charles m. Schulz. _ être Charlie brun animal de compagnie briquet. _ Snoopy commencer son vie dans le dépouiller comme un juste ordinaire chien, mais certain évoluer dans peut-être le dépouiller plus dynamique caractère-et parmi le plus reconnaissable comique caractère dans le monde. _ le original schéma Snoopy être based sur Schulz's enfance chien, Snooky et Spike.[1 ] animation producteur facture Melendez exprimer les deux Snoopy et (certain) Woodstock dans nombreux télévision specials 1965 2006.

Caractère
Snoopy a fait la première fois son aspect sur la bande octobre 4, 1950, pendant deux jours après que la bande a présenté en première, et a été identifié de nom novembre 10. Schulz allait à l'origine l'appeler "Dédaigneux" (comme décrit dans le 25èmes livre d'anniversaire, jubilé d'arachides, (page 20)), jusqu'à ce qu'il ait découvert que le nom a été employé dans une présentation horizontale sur microfilm différente. Snoopy était un caractère silencieux pendant les deux premières années de son existence, mais mai 27, 1952 il a exprimé ses pensées aux lecteurs pour la première fois par l'intermédiaire d'un ballon de pensée ; Schulz utiliserait ce dispositif pour presque tous les aspects du caractère dans la bande ensuite. En plus des capacités de Snoopy "parlez" ses pensées au lecteur, plusieurs des caractères humains en arachides ont le talent surnaturel de lire ses pensées et de répondre à elles. Dans les films d'arachides et les specials animés de télévision, les pensées de Snoopy ne sont pas exprimées ; ses modes sont à la place donnés par les grondements, sanglots, rire, etc., aussi bien que la pantomime traversante. Les seules exceptions sont dans vous sont un bons homme, brun de Charlie et Snoopy ! ! ! Le musical, dans lequel les pensées de Snoopy sont exprimées par des commentaires (par Robert Towers et came Clarke, respectivement).

Curieusement, la première fois qu'un briquet a été mentionné dans la bande (décembre 5, 1960), Snoopy a nié être un. Comme Snoopy a somnolé, Charlie Gertrude paraphrasé brun Stein : "briquets sur l'herbe, hélas." À ceci, Snoopy répondu, "I n'est aucun briquet stupide." Plusieurs des moments mémorables des arachides viennent dans Snoopy rêvassent en tant qu'auteur : son ouvreur éternel sur la machine à écrire "il était un foncé et la nuit orageuse..." est prise du roman 1830 d'Edouard George Bulwer-Lytton Paul Clifford. Le contraste entre l'existence de Snoopy dans un monde rêveur et le brun de Charlie dans le vrai monde est central à l'humeur et à la philosophie des arachides (voir par exemple les arachides réserver un rêve de la vie de titre, un brun de Charlie). Schulz a résumé le caractère de Snoopy dans une entrevue 1997 : "il doit retraiter à son monde de fantaisie afin de survivre. Autrement, il mène le genre de vie mate et malheureuse. Je n'envie pas des chiens les vies où ils doivent vivre."

Développements
Un des premiers développements impairs de Snoopy était sa tendance de s'engager dans les personnifications. Sa personnification plus tôt était d'un oiseau août 9, 1951. Plus tard (commençant novembre 17, 1955), Snoopy s'est engagé dedans mort-sur des imitations de violette, d'un pélican, de Lucy, d'une souris d'orignaux, de Beethoven et de Mickey. Il feindrait également pour être de divers autres animaux, y compris un serpent, un rhinocéros, et un vautour. Mais ses excentricités ne se sont pas arrêtées là. Janvier 5, 1956, Snoopy a marché sur deux jambes comme un humain pour la première fois. Ceci est bientôt devenu ainsi la banalité quant à soit presque unnoticeable, comme Snoopy a développé une variété de Walter Mitty-esque des alter ego. La transformation de Snoopy à la marche à 2 pieds également a été accompagnée de son plus grand museau et grande longueur de corps. Probablement son changer-moi plus célèbre est comme as de vol de Première Guerre Mondiale, souvent vu luttant son ennemi suprême, baron rouge. Pour ceci, il s'élèverait jusqu au dessus de son chenil, met des lunettes et une écharpe, et vole ainsi son chameau de Sopwith (le type d'avion au vol par brun de Arthur le "Roy", qui a été crédité du tir en bas du baron rouge dans la Première Guerre Mondiale, et dont le nom de famille assortit cela du propriétaire de Snoopy). Le baron rouge, comme l'autre adulte figure en arachides, n'a été jamais dessiné dans une bande ; sa présence a été indiquée par les trous de balle qui résoudraient le chenil dans un duel, et les accès fâchés de Snoopy dans la réponse : "maudissez-vous, baron rouge!" (habituellement accompagné de la poing-secousse et d'un salut tandis que son chenil "de chameau de Sopwith" descend à la fumée de remorquage de la terre). Dans moi veux un chien pour Noël, sauts bruns bruns de brun de Sally de soeur de Charlie Charlie sur le chenil et les mouches avec Snoopy.
Snoopy aussi devenir "Joe frais", comme mettre sur lunettes de soleil et pencher contre le mur doing rien. _ un chanson appeler Joe frais être chanter par Vince Guaraldi. _ avoir aussi être un célèbre auteur (qui être réel éditer une fois, dans un octobre 1995 storyline, dans qui un copie son anonyme roman être écrire, mais tomber en panne vendre), un mandataire (qui une fois défendre Peter lapin), un hockey joueur, un olympique figure patineur (qui used patin avec Sonja Henie avant devenir "grand temps"), un monde célèbre épicerie contrôle commis qui actionner le dessus son chien maison dans un tablier, le "seul briquet" (le premier chien voler en solo à travers le atlantique), un beaucoup rejeter histoire auteur et égal le premier astronaute _ terre sur le lune. _ dans "être Flashbeagle, Charlie brun", Snoopy devenir un flash danseur named "Flashbeagle". _ _ extérieur son imagination vie être le shortstop pour Charlie brun petit ligue équipe (et le meilleur joueur, presque passing bébé Ruth sur le carrière maison courir liste). _ Snoopy être aussi un "briquet surveiller", le arachide version aigle surveiller et être le surveiller chef pour un troupe comporter Woodstock et son autre oiseau ami. _ ce scouting thème réapparaître dans tout le comique dépouiller. _ _ Snoopy amour racine bière et biscuit, détester noix de coco sucrerie, obtenir claustrophobie dans grand mauvais, et être de mort effrayé glaçon dangling au-dessus son chenil. _ Snoopy aussi avoir le surnaturel capacité jeu chercher avec savon bulle, et pouvoir entendre quelqu'un eating guimauve ou biscuit un distance, ou même éplucher un banane. _ Snoopy être aussi capable disappearing, comme le Cheshire chat Alice dans pays des merveilles, comme montrer dans un prolongé dépouiller, toutes les fois que Charlie brun lire le livre lui. _ ("grimace être facile. _ nez être dur. _ oreille être presque impossible.") _ _ pouvoir aussi employer son oreille voler au sujet comme un "whirlydog". _ Snoopy égal devenir un canin hélicoptère, avec Woodstock piloting. _ ce bâilloner apparaître dans le dépouiller plusieurs temps, plus célèbre rescuing Linus le dessus un grange après être commissionner par Sally. _ quand demander par Linus où apprendre pilote, Woodstock répondre dans son habituel apostrophe, qui Linus interpreted comme signification "'Nam". _ _ Snoopy "comprendre un petit français." _ son chien nourriture marque être appeler "pour chien qui voler dans Première Guerre Mondiale et comprendre un petit français." _ tomber en panne son haut école géométrie cours, qui être son excuser pour non être capable suivre un golf cours 90 degré golf chariot driving règle. _ _ Snoopy avoir son propre petit danser, divers known comme le briquet, le Suppertime danser, ou simple le Snoopy danser. _ plus souvent danser suppertime et avoir cassé son pied être trop exciter. _ un dépouiller inclure un plaisanterie que avoir oublier le étape. _ _ au moins deux fois Snoopy monter arbre -- une fois sauver Schroeder piano et une fois après Frieda's chat Faron. _ les deux temps tomber hors le arbre. _ _ chaque vétéran jour, Snoopy habiller comme un armée vétéran et aller armée réalisateur de dessins animés facture Mauldin's maison "boire racine bière et dire guerre stories".Snoopy porter mettre en contact, comme expliquer dans un dépouiller où perdre les.
Chenil
Décembre 12, 1958, Snoopy a dormi sur son chenil, plutôt qu'à l'intérieur de lui, pour la première fois. Beaucoup de lecteurs se demandent ce qui empêche Snoopy de tomber le dessus pointu de sa maison de chien. Une bande l'a attribué à ses oreilles, que "fermez-" le à clef jusqu au dessus, semblables à la capacité d'un oiseau de rester sur une branche après être tombé endormi. Ensuite, Snoopy a été rarement vu pour oser à l'intérieur du chenil, excepté pour rechercher quelque chose, au lieu de cela passant la majeure partie de son temps se reposant ou se trouvant sur son toit lancé. En dépit de Snoopy tendance pour rester dehors en tout survivent à (dans certains cas même permettant à la neige de s'accumuler sur son corps en supination, et portant une prise d'air quand il pleut, que même le brun de Charlie ne sait pas), un bâillon courant établit que l'intérieur du chenil de Snoopy était quelque chose de extraordinaire. Il physique défiante, étant nettement plus grand sur l'intérieur que l'extérieur, avec un foyer tapissé, un repaire, une bibliothèque, une salle d'invité, un escalier et un sous-sol. La première indication de la disposition unique des chenils s'est produite janvier 31, 1954 où le brun de Charlie a été embarassé pour voir tous ses amis de voisinage ramper dans lui pour une visite. Le chenil a été détruit plusieurs fois au cours des années, étant frappé par un arbre dû à une chasse au-dessus de la couverture de Linus (juillet 26, 1959), écrasé par un grand glaçon (février 13, 1960), et finalement brûlé à la terre (septembre 19, 1966). Dans chaque cas le chenil a été bientôt reconstruit. Bien que différents articles aient été perdus dans le feu, chaque chenil de rechange semble avoir maintenu le spaciousness et l'opulence de son prédécesseur. L'intérieur a été décoré de plusieurs acquisitions coûteuses comprenant une peinture en Van Gogh, d'abord mentionné février 29, 1964. Après que l'incendie ait détruit le fourgon Gogh, il a été remplacé par un Andrew Wyeth. À de diverses heures l'intérieur du chenil de Snoopy a également tenu des lits de couchette, une table de piscine, une table de pong de cinglement, une télévision, un mural (peint par Linus), une douche, un cabinet de cèdre, une horloge première génération, et un jacuzzi ] Les dispositifs établis dans les specials de télévision incluent une cuisine fine (un Thanksgiving brun de Charlie), et l'équipement de bruit (un garçon appelé Charlie Brown). Dans lui est magique, le brun de Charlie, Snoopy entre dans sa maison de chien et l'intérieur souterrain est dépeint en tant que spacieux et bien équipé pour quelque chose il a besoin. Le chenil est également employé un appui vertical pour Snoopy beaucoup de fois, souvent imaginé car un avion de combat de "chameau de Sopwith" de Première Guerre Mondiale, en lequel Snoopy emploie pour faire la bataille avec le baron rouge. Pendant ses combats d''antenne 'avec le baron, la maison de Snoopy souffre souvent des trous de balle et se brise de temps en temps. Cependant, ceci semble avoir lieu seulement dans l'imagination de Snoopy, car la maison est dans la forme parfaite plus tard.

Friday, August 17, 2007

Disneyland Resort Paris



Disneyland Resort Paris est un complexe de loisirs de la Walt Disney Company développé par l'intermédiaire d'une société européenne nommée Euro Disney SCA (dont elle détient plus du tiers du capital), puis au travers de Euro Disney Associés (une SNC).
Disneyland Resort Paris est le nom donné au complexe suite aux problèmes financiers d'Euro Disney Resort entre l'ouverture le 12 avril 1992 et 1995. Ce nom fut choisi le 1er octobre 1994 afin de revitaliser le parc et l'actionnariat.
Le domaine s'étend sur 1943 ha, à trente deux kilomètres à l'est de Paris, dans la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, principalement sur le territoire du village de Chessy. Une gare TGV a été financée par l'État français, la ligne RER A fut prolongée aux frais de la région ainsi que la bretelle autoroutière menant de l'A4 au parc.
Euro Disney SCA développa à l'image du complexe de Walt Disney World Resort, de nombreuses activités autour de parcs à thèmes.
En 2004, le chiffre d'affaire s'établissait à 1,048 milliard d'euros, avec une hausse de 5%. Le parc est la première destination touristique européenne avec 12,4 millions de visiteurs par an.

Histoire du Disneyland Resort Paris
- Génèse du projet
Grâce au succès du parc américain Disneyland de Californie, ouvert en 1955, la Walt Disney Company a commencé à rechercher de nouveaux sites pour établir d'autres « royaumes enchantés ». Cela a conduit à l'ouverture du Walt Disney World Resort en Floride en 1971, puis à celle du Tokyo Disney Resort au Japon en 1983.
L'implantation d'un parc Disney en France est un projet très ancien puisque dès la fin des années 1970, la firme Walt Disney Productions avait entamé des négociations avec la Datar mais ces dernières n'avait pas abouti. En janvier 1984, lors d'un voyage aux États-Unis d'Édith Cresson, alors ministre du Commerce extérieur et du Tourisme, son chef de cabinet, Patrick Subremon, introduit par Charles de Chambrun qui fut ministre du Commerce extérieur de Charles de Gaulle, rencontre un des plus importants promoteurs immobiliers américains, qui lors d'un déjeuner dans un club très select, s'enquiert de la situation politique et sociale de la France, s'inquiétant de « la révolution permanente », des « défilés syndicaux » et de son « administration tentaculaire ».
Le lendemain, Patrick Subremon rencontre au 40° étage de la Bank of America, Ray Watson, le président de Walt Disney Productions et Frank Stanek qui venait de réaliser le premier Disneyland à l'étranger, Tokyo Disneyland. Ils passent ensemble de longues heures lors desquelles, le français, qui ne parle pas l'anglais, va découvrir la philosophie d'entreprise de Disney et sa culture. Il découvre aussi les lignes générales d'un ambitieux projet en Europe, pour lequel ils recherchent un terrain plat de 500 hectares, situé près d'un nœud de communication et d'un aéroport international, dans un environnement capable d'accueillir plus de 10 millions de visiteurs chaque année.
Quelque temps après, les américains remettent aux français, divers documents de réflexion. Édith Cresson, met au courant le président de la République (François Mitterrand), mais le nombre de personnes ayant connaissance du projet est réduit au minimum et le restera : le secrétariat des Villes nouvelles, la banque d'affaires Lazard, pour les questions financières, et le cabinet Bourdais, pour une étude sur les emplacements. Le ministre de l'Intérieur, Gaston Defferre, finit aussi par être mis au courant au printemps 1984, lorsque des hélicoptères affrétés par les américains commencent, en de nombreuses occasions, à survoler les territoires potentiels d'implantation, cette activité insolite ne passant pas inaperçu, et imagine de son côté avoir le futur parc aux portes de Marseille.
Parallèlement, les français commencent, en catimini, une négociation très serrée, alors même que Michael Eisner et Frank Wells fraîchement nommés à la direction de Disney, suite à une forte bataille boursière, sont intéressés par une implantation en Europe et ont commencé, fin 1984, à rediscuter sérieusement de l'idée d'un « Euro Disneyland ». Les chefs de la division de parc à thème de Disney, Dick Nunis et Jim Cora, leur ont alors présenté une liste de presque 1200 endroits possibles en Europe.

- Le projet devient public

Début 1985, les journaux français découvrent à leur tour le projet et le popularisent, alors que Carl G. Bongino, le vice-président de Walt Disney Productions est reçu par le Premier ministre, après avoir remis un dossier précisant les intentions de Disney et comprenant trois sites potentiels en France, un en Ardèche, un dans le Var et le dernier à l'Est de la Région parisienne. Les Français créent un groupe de travail informel, sans existence légale, comprenant une dizaine de personnes représentant en particulier l'État et la Région Île-de-France, où se situe le site de Marne-la-Vallée qui semble avoir le potentiel le plus important. La composition, à l'époque était secrète, mais parmi eux : Gérard Mestrallet de la banque Indosuez, Patrick Subremon du ministère du Tourisme, Jean-Noël Chapalut haut-fonctionnaire en charge des villes nouvelles, Michèle Dayries et le chef de cabinet du président RPR du Conseil régional d'Île-de-France, Michel Giraud.
De janvier à juin, les français multiplient les voyages vers les États-Unis, mais sans beaucoup d'organisation, de plus ils n'arrivent pas à former une véritable équipe, l'individualisme traditionnel, alimenté par de nombreuses empoignades internes pour des questions financières et de sensibilités politiques différentes l'emporte. Les Américains en profitent pour faire monter la pression et exigent des engagements concrets.

Une bataille Franco-espagnole

En mars 1985, après une première présélection, seuls deux sites espagnols et deux sites français sont conservés comme des candidats viables. Pendant ce temps, les Français qui s'entredéchirent notamment au sujet du financement du prolongement du RER jusqu'au futur parc, ne sont pas en mesure de s'engager concrètement plus avant dans le projet et tentent à tout prix de gagner du temps, mais les Américains voulaient arrêter les négociations au début de l'été 1985. En Espagne, les pouvoirs publics et la presse s'enthousiasment à l'idée de recevoir le futur parc et affirment haut et fort que Mickey préfère le sombréro au béret. Ils décident de mettre le paquet et alignent les subventions afin d'attirer l'attention d'Oncle Picsou.
Face à cette surenchère des concurrents espagnols, les quatre principaux membres du groupe de travail décident de rétablir les négociations avec les responsables du projet chez Disney. L'un d'entre eux se rend en Californie, mais les Américains l'écoutent seulement dans un silence total et glacial. Les Espagnols sont alors certains de leur victoire. Mais, à force de persévérance et de persuasion, le négociateur français parvient à rétablir la négociation, les Américains appréciant son dynamisme. Dès juillet 1985, les Français se réorganisent et désormais un seul homme les représentera, il s'agit de Jean Peyrelevade, alors président de la Compagnie financière de Suez.
Mais la situation est grave, les Espagnols ont une très importante avance dans leur dossier, cependant, il parvient à faire repousser jusqu'à fin septembre le délai consenti par Disney pour présenter une proposition financière solide. Dès lors, les Français, mettant de côté leurs sensibilités politiques, vont désormais faire front commun et progressent à coups de concessions, mais cette fois même trop rapides. Michel Giraud, président de la Région Île-de-France, donne un sérieux coup de pouce en faveur du prolongement du RER, et le gouvernement français accorde des bonifications pour des crédits à 9,75% — à l'époque l'inflation était très élevée — et promet des allègements fiscaux. Mais dans la précipitation, à cause de fuites, des informations importantes se retrouvent catastrophiquement dans la presse, en pleine négociation, comme par exemple celle sur la surface de 1 600 hectares que la France serait disposée à donner sur les 2 400 qu'ils recherchent.
En octobre, les propositions françaises sont cette fois solides et la visite du responsable des achats de Disney à Rungis, afin de s'assurer que la région a les capacités de nourrir sans difficultés logistiques, dix millions de visiteurs, marque la fin des négociations. Il repart convaincu, et le 12 décembre 1985, huit cadres de Disney arrivent à Paris, dont Richard Nunis, le directeur de la division "Parc d'attractions" et Jim Cora, le principal responsable des négociations.
Les sites en Espagne avaient pour eux l'avantage du climat et de la proximité de la Méditerranée. Mais l'emplacement proche d'Alicante fut abandonné lorsqu'on constata qu'il y soufflait des forts vents tous les ans pendant plusieurs semaines. De même, le site français proche de Toulon fut rejeté à cause de la géologie de son sous-sol, trop dur. Enfin, Barcelone ne fut pas retenue à cause de sa situation européenne trop excentrée, attirante l'été pour les vacances mais trop peu l'hiver — les menaces terroristes de l'ETA contribuèrent aussi à l'écarter de la liste. Ce site est toutefois en partie viable, le parc Port Aventura s'y installa. Plus tard, Universal acheta ce parc pour le nommer Universal Mediterrannea puis le revendit.

Une bataille jusqu'aux derniers jours

Les Français sont satisfaits du travail accompli et pensent que les derniers points de détail n'empêcheront pas la signature définitive du fabuleux contrat avant Noël. Mais, dès le lendemain de leur arrivée, le vendredi 13 décembre, les Américains réclament une rallonge financière de la part du département de la Seine-et-Marne, et le président du Conseil général, Paul Séramy, ardent défenseur du projet, donne son accord pour mettre quelques dizaines de millions de francs supplémentaires, surtout lorsque les Français découvrent que le Président de Disney, Michael Eisner, était toujours en train de négocier directement avec les Espagnols. Ce dernier arrive à Paris, et le 18 décembre, il signe le protocole d'accord avec le gouvernement français et la région Île-de-France pour la réalisation d'un parc Disneyland à Marne-la-Vallée; l'accord définitif devant être conclu initialement avant les élections législatives de mars 1986.

Un projet d'envergure

La société américaine a su habilement faire jouer la concurrence entre les sites afin d'obtenir des pouvoirs public des concessions que d'aucun jugèrent exorbitantes. Mais ce n'est que le 24 mars 1987, que l'État français signe un contrat de 30 ans pour le développement du complexe d'Euro Disney Resort, les travaux peuvent débuter. C'est ainsi que le nouveau parc Disney vit le jour à Marne-la-Vallée, à moins de 40 minutes de Paris en RER, sur les communes de Bailly-Romainvilliers, Chessy, Coupvray, Magny-le-Hongre et Serris.
Selon le projet final, le parc devait atteindre 1 800 hectares en l'an 2000 dont une faible partie pour le parc d'attractions proprement dit, le reste devant recevoir, des bureaux, un théâtre, des centres culturels commerciaux et sportifs. Le montant de l'investissement initial prévu était de 15 milliards de francs (soit 2,3 milliards d'euros) plus 5 milliards de francs pour les infrastructures (routes, RER, etc.). Une deuxième tranche est envisagée dès cette époque. Le chantier devrait employer près de 10 000 personnes, et à son ouverture, le parc devrait employer 23 000 personnes en permanence et 5 000 autres en temporaire. Les activités annexes et périphériques devraient à terme générer, selon les prévisions les plus optimistes des experts, la création de près de 100 000 emplois.
-Depuis sa première ouverture
Le complexe est grand et comprend en plus des hôtels et un centre de divertissements, Disney Village.
Depuis le 16 mars 2002, le resort est complété par un deuxième parc à thèmes, le Parc Walt Disney Studios, le resort a du coup encore changé de nom et est baptisé depuis Disneyland Resort Paris. Situé à droite du premier parc, le long de la ligne de RER, ce parc comporte seulement 10 attractions et est basé sur la visite et la découverte des coulisses du cinéma, des dessins-animés et de la télévision. Il est appelé à connaître de nouveaux agrandissements à partir de 2007.



Un parc d'attractions est un espace de loisirs et de divertissement proposant des activités diverses destinées à détendre, amuser, divertir le visiteur. Ces activités, appelées attractions, sont de diverses formes. Il peut s'agir de spectacles, de montagnes russes, de manèges (de type forain ou non), de parcours scéniques d'intérieurs (dark rides), ou simplement de jeux (toboggans, balançoires, piscines).
Un type particulier de parc d'attractions est le parc à thèmes où les visiteurs sont immergés dans un thèmes (cinéma, far west, fantaisie...) au moyen notamment de décors.
Un parc d'attractions est parfois la pièce maitresse d'un domaine plus vaste pouvant comprendre des hôtels, des boutiques... On parle alors de complexe de loisirs ou de resort.

Monday, July 2, 2007



Histoire

La France actuelle, pays de langue romane mais de superstrat germanique, occupe la plus grande partie des anciennes Gaules celtiques, conquises par Jules César, mais elle tire son nom des Francs, un peuple germanique, dont le nom signifie « hommes libres », qui se forma tardivement et s’installa sur une partie des terres de l’Empire romain.


Évolution du nom « France » et du Territoire
Francia désigne à l’origine la région du nord de l’Europe, peuplée, ou plutôt dominée, par un peuple de guerriers germaniques qui se nomment eux-mêmes les Francs. Francia n’a alors pas une connotation politique mais plutôt géographique ou sociologique, comme Maghreb ou Balkans au XXIe siècle. Le peuple franc est avant tout un peuple de guerriers qui élit un chef de guerre nommé roi des Francs, et se place librement sous son autorité pour les affaires militaires. La guerre étant considérée comme la valeur par excellence de l’homme libre, franc finit par devenir synonyme de libre.
De l’organisation franque découle le
système féodal.
En
1204, le mot Francia désigne, pour la première fois, le territoire sur lequel s’exerce l’autorité de ce roi des Francs, qui commence sporadiquement à se nommer rex Francie. Cette autorité se limite encore à celle qu’autorise le lien de vassalité, et ne porte donc que sur les seigneurs eux-mêmes, à l’exclusion de leurs territoires, de la population de ceux-ci, et même des propres vassaux de ces seigneurs. On peut donc par exemple rapprocher cet événement de l’utilisation à partir de 1957 d’Europe dans un sens politico-économique. Ceci ouvre toutefois la porte au concept d’une autorité civile du roi sur un territoire. Mais il faut attendre le XVe siècle pour que ce concept soit reconnu, bon gré mal gré, sinon accepté (guerre folle), par la plupart des seigneurs.

Au début du
XVIe siècle le concept de « chose publique » fait une réapparition timide après avoir disparu avec la chute de l’empire romain. En 1499, le contrat de mariage du roi de France, qui dispose de la propriété de la France, tente, sans succès, de constituer un engagement non seulement entre les signataires, mais aussi entre leurs descendants, et même leurs successeurs. La nationalité française est définie à cette époque.
C’est aussi vers cette époque qu’un
embryon d’État commence progressivement à se mettre en place. Jusqu’au milieu du XVIe siècle, le roi est un nomade qui se déplace avec toute son administration, ne restant jamais plus de quelques semaines dans la même résidence, ce qui limite singulièrement les possibilités de centralisation des fonctions étatiques.
Au début du
XVIIe siècle, la politique étrangère de la France commence à dépasser les seules agressions militaires directes. Richelieu introduit la diplomatie comme une façon de faire mener ses guerres par d’autres pays.
La
révolution française constitue l’acte de naissance de la Nation française, et du peuple français en tant qu’acteur politique. Il ne s’agit alors pourtant encore que de concepts tout théoriques. Ce sont les guerres napoléoniennes, et surtout les grandes guerres de 1870, 1914 et 1939 qui font de la Nation française une image mentale partagée par les Français. Les difficultés économiques liées à la mondialisation du début et de la fin du XXe siècle exacerbent (comme dans le reste de l’Europe) ce sentiment national en un nationalisme.



Préhistoire, Protohistoire et Antiquité



La présence humaine sur le territoire de la France actuelle remonte au Paléolithique inférieur. L'un des sites les plus anciens (- 1 800 000 ans), contesté par certains auteurs, est le site de Chilhac (Haute-Loire). Plusieurs sites français ont donné leur nom à des faciès culturels, tels que l'Acheuléen, le Moustérien, le Solutréen ou le Magdalénien. Le territoire national compte un nombre important de grottes ornées du Paléolithique supérieur dont la plus connue est sans doute Lascaux (Dordogne, -15 000). À partir de -7000 environ, la région entre dans le Néolithique, le plus ancien village étant le site de Courthézon (Vaucluse), daté de 4560 av. J.-C. environ.
Arrivés vers
-900 sur le territoire de la France actuelle, les Celtes en occupent l’ensemble au IIIe siècle av. J.-C.. Vers 680 av. J.-C., le littoral méditerranéen voit l’arrivée des premiers colons grecs, avec la fondation du comptoir d’Antibes.
La
Gaule passe sous la domination romaine vers 125 av. J.-C. pour la Gaule narbonnaise, et en 51 av. J.-C., après la guerre des Gaules, pour le reste du territoire. Sous l’Empire, une civilisation gallo-romaine prospère se développe, apportant à la France une base de culture latine et conduisant indirectement à la christianisation, qui s’opère lentement du IIe au VIe siècle.



Haut Moyen Âge



La Gaule connaît à partir du Ve siècle l’époque des migrations barbares, avec la présence de plusieurs peuples, notamment les Burgondes, les Wisigoths et les Francs.
Une grande partie des régions constituant la France actuelle sont réunies sous
Clovis en 507 (réunion sous la domination franque, ou regnum francorum, des Alamans, des Burgondes et des Wisigoths au nord des Pyrénées). Ce « royaume des Francs » qui s’exerce sur ce que l’on appelait encore la Gaule tire sa légitimité et son unité de sa romanité culturelle. Mais il est partagé puis réuni à de multiples reprises au gré des héritages des héritiers de Clovis (dynastie des Mérovingiens). Ces royaumes ultérieurs s’appellent Neustrie (Paris), Austrasie (Metz), Bourgogne (Chalon), Aquitaine (Bordeaux).
À partir du milieu du
VIIIe siècle Pépin le Bref, roi des Francs non mérovingien, étend considérablement le royaume des Francs, bientôt érigé en Empire par son fils Charlemagne et son petit-fils Louis le Pieux. Après la mort de Louis, son domaine est partagé en trois parties où l’autorité centrale s’effondre rapidement, ramenant l’organisation de la région à la situation antérieure : la Francia orientalis (à l’est), la Francia occidentalis (à l’ouest) et entre les deux l’éphémère Lotharingie, domaine d’un empereur très théorique. La partie orientale correspond à ce qui devint plus tard l’Allemagne et la partie occidentale, à la France. C’est de 842, avec les serments de Strasbourg passés entre les petits-fils de Charlemagne, que date la source la plus ancienne attestant l’usage de deux langues différentes de part et d’autre du Rhin (le tudesque et le roman). Ce texte a donc souvent été présenté comme l’acte fondateur de la France (et de l’Allemagne). Des descendants de Charlemagne — les Carolingiens — conservent une influence symbolique sur des territoires correspondant très grossièrement à la France jusqu’en 987, date à laquelle le duc Hugues Capet est élu roi des Francs.


Temps féodaux


Hugues Capet, en modifiant les règles de succession, crée les conditions qui permettront, au long des siècles suivants, la constitution de la France. Ses descendants, les Capétiens règnent alors sur la France, en trois dynasties successives (Capétiens directs, Valois et Bourbons), jusqu’en 1792 lorsque Louis XVI est déposé lors de la Révolution française, puis durant un intermède de trente ans, de 1814 à 1848.
Les premiers rois
de la dynastie étendent progressivement le domaine royal, consolident la royauté franque malgré l’opposition des Plantagenêts, qui se matérialise par la guerre de Cent Ans. Mais ce n’est qu’à la fin du XIIe siècle que Philippe Auguste étend pour la troisième fois en un millénaire l’autorité du roi des Francs des Pyrénées à la Manche. C’est à cette époque qu’on commence à employer l’expression royaume de France, et que celui-ci acquiert un poids comparable à celui de l’Angleterre ou du Saint Empire romain germanique. Les derniers siècles du Moyen Âge, marqués par les crises de la Guerre de Cent Ans et de la peste noire, renforcent finalement l’autorité royale, qui ne devient incontestable qu’au XVe siècle, avec Louis XI.




Renaissance et absolutisme

À la fin du Moyen Âge l’Espagne des rois catholiques et les possessions des Habsbourg s’unissent, ce qui donne naissance à l’empire de Charles Quint. François Ier et son fils Henri II luttent contre cette nouvelle puissance avec des succès et des revers. Mais les guerres de religion qui marquent la seconde moitié du XVIe siècle et le règne des derniers Valois (François II, Charles IX, Henri III) éloignent la France du théâtre européen.
Il faut attendre
Henri IV, puis Louis XIII et son ministre Richelieu, pour que la prépondérance espagnole soit remise en cause au profit de la France. Malgré la disparition prématurée de ces acteurs, l’équilibre des forces est rétabli puis renversé, par de grands politiques comme Mazarin, notamment en 1648 (traité de Westphalie) et 1659 (traité des Pyrénées).
Dans le domaine colonial, le bilan est en revanche mitigé : malgré un bon départ en Amérique avec l’expédition de
Jacques Cartier sous François Ier, une implantation réussie aux Antilles, en Louisiane, et au Sénégal sous Louis XIV, le manque de détermination de Louis XV a conduit à de graves échecs devant les Anglais en Inde et au Canada, et, ainsi, à rompre la dynamique créée par ses prédécesseurs.

La Révolution et l’Empire

Les difficultés financières, le refus des réformes et l’impatience du peuple conduisent à la Révolution française, de 1789 à 1799. Cet épisode marquant dans la construction de l’histoire nationale voit naître notamment la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et de la promotion des idéaux de liberté, égalité, fraternité.
La Révolution se déroule en plusieurs phases et commence par un essai de monarchie constitutionnelle, avec la réunion des
États généraux, puis la prise de la Bastille le 14 juillet 1789, les troubles politiques et sociaux (opposition du tiers état face à la noblesse) aboutissent à la chute de la monarchie, le 10 août 1792. L’ébullition révolutionnaire conduit à une succession de régimes (République de la Convention, Directoire, Consulat) en conflit quasi permanent avec les autres pays européens inquiets d’une propagation des idées républicaines.
À partir de
1799, Napoléon Bonaparte prend le pouvoir, d’abord comme Premier consul, puis comme empereur. Cette période voit l’instauration de nouvelles institutions, tandis que la France s’étend à travers l’Europe avant une période de revirements militaires. L’épisode s’achève par la restauration des Bourbons en 1815.




La Restauration de 1815 marque le début d’une nouvelle tentative de monarchie constitutionnelle, mais les tensions des règnes de Louis XVIII puis surtout de Charles X conduisent à la Révolution de 1830 qui porte Louis-Philippe Ier au pouvoir. De 1830 à 1848, la Monarchie de Juillet est un régime soutenu par la bourgeoisie, mais qui suscite une opposition légitimiste, bonarpartiste et surtout républicaine.
Cette dernière entraîne la
révolution de février 1848 qui voit une tentative de régime présidentiel, la Seconde République.
Le
2 décembre 1851, le président de la République, Louis-Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon Ier, organise un coup d’État. Le 14 janvier 1852, il est nommé empereur sous le nom de Napoléon III. Sous le Second Empire, le pays connaît les débuts de la deuxième industrialisation, impulsée par des orientations économiques libérales, fondées sur des constructions capitalistiques fortement structurantes (banques d’affaires, compagnies de chemin de fer et maritimes, industries lourdes et textiles, grands magasins, etc.). Sur le plan de la politique extérieure, Napoléon III s’assure la confiance du Royaume-Uni (guerre de Crimée) qui permet d’assoir l’influence de la France au Proche-Orient tandis que son action en Italie, contre l’Autriche, est couronnée de succès et conduit à la réunion à la France de régions du Piémont (Savoie, Nice). Néanmoins, de graves revers ternissent considérablement l’image du régime, et renforcent une opposition extérieure (Victor Hugo) et intérieure. Le pari de la lutte contre la Prusse pour redonner un certain lustre à l’Empire, précipite en fait sa chute. Il se termine ainsi en 1870 après la défaite de Sedan. La perte de l’Alsace-Lorraine et les considérables indemnités dues à l’Empire allemand créé à la faveur de l’avantage pris par la Prusse, conduisent à un ressentiment national fort (la Revanche).



De la Troisième République à la Libération
La guerre de 1870 entraîne la chute du Second Empire et le retour à la république, après l’insurrection de la Commune de Paris. Le Second Empire avait évolué vers un régime parlementaire, et son héritage est en partie repris par la IIIe République. Après quelques années d’hésitation, la Troisième République est finalement confirmée en 1875, la pratique des institutions en faisant un régime d’assemblée.
Sous la Troisième République, la France étend son
empire colonial, dont la conquête avait commencé sous les monarchies du XIXe siècle (Afrique occidentale et équatoriale, Maroc, Tunisie, Madagascar, Indochine).
Sortie victorieuse, mais au prix de souffrances démographiques et économiques immenses de la
Première Guerre mondiale, la France connaît une période de crise économique et politique dans les années 1930. La défaite de 1940 conduit à l’attribution par vote des pleins pouvoirs au maréchal Pétain pendant la Seconde Guerre mondiale. Celui-ci remplace la république par un État français contesté par la France libre du général de Gaulle jusqu’en 1944.


La France contemporaine

À la suite de la Seconde Guerre mondiale, la Quatrième République est promulguée le 27 octobre 1946, mais elle fait face à de graves difficultés dans l’Empire colonial, d’abord en Indochine, puis en Algérie, tandis qu’ailleurs la décolonisation se fait par négociation. L’instabilité gouvernementale qui en résulte, génère finalement une crise qui conduit à un changement de constitution. Pourtant, malgré les changements fréquents de ministères, une certaine constance de la politique de construction européenne a permis de participer activement tout d’abord à la Communauté européenne du charbon et de l’acier en 1950, puis à la signature du traité de Rome en 1957 fondateur du Marché commun. Par ailleurs, la politique de développement de l’industrie nucléaire tant civile que militaire, a permis d’assoir une politique indépendante dans les années 1960.

Charles de Gaulle, fondateur de la Ve République
La Constitution de la
Ve République, rédigée sous l’influence du général de Gaulle et de Michel Debré, est adoptée le 4 octobre 1958. Elle met en place une République à régime parlementaire qui s’avère mieux résister aux instabilités que les républiques parlementaires précédentes. En 1962, la conjonction de l’élection du président de la République au suffrage universel direct et du fait majoritaire au Parlement favorable au président vont modifier la Constitution pour en avoir une lecture favorable au président. On parle alors de régime parlementaire présidentialisé. Ce cas est unique à la France ; dans tous les autres régimes parlementaires, le chef de l’État s’est systématiquement effacé au profit du chef de gouvernement, qui est soutenu par la majorité parlementaire. Maurice Duverger, lui, a souhaité définir la Ve comme relevant d’une nouvelle catégorie, celle du régime semi-présidentiel. Cette typologie n’est cependant pas acceptée par tous.
À partir de
1973, l’économie française connaît une succession de crises économiques et de périodes de faible croissance, qui entraînent une alternance fréquente au sein du pouvoir. De 1986 à 1988, puis de 1993 à 1995 et enfin de 1997 à 2002, le phénomène de la cohabitation (annulation du fait majoritaire favorable au Président, ce qui fait que le Premier ministre est d’un différent bord politique que celui du Président) modifie encore la lecture de la Constitution, pour revenir à une lecture plus proche de sa conception en 1958, c’est-à-dire un régime parlementaire.
Depuis les
années 1950, la réconciliation, puis la coopération avec l’Allemagne ont permis à la France de jouer un rôle de moteur dans la construction européenne, notamment avec la Communauté économique européenne. Elle est devenue l’un des principaux pays de l’Union européenne, partisan d’une Europe politique forte, bien qu'elle ait rejetée la Constitution européenne par 55% des suffrages le 29 mai 2005


Politique

La France est une République constitutionnelle, « indivisible, laïque, démocratique et sociale » (article Ier de la Constitution de 1958) à régime parlementaire présidentialisé (dont la lecture se fait en faveur du Président de la République, parfois appelé à tort ou à raison régime semi-présidentiel). La réforme constitutionnelle du 28 mars 2003 (acte II de la décentralisation) a rajouté dans ce même article que l’organisation de la République était décentralisée.
Avant
1962, le président de la République française était élu au suffrage universel indirect par un collège électoral élargi. Celui-ci était élargi pour éviter la prépondérance du pouvoir législatif sur le pouvoir exécutif qui s’était produit sous la IVe République et qui avait provoqué le blocage des institutions. En novembre 1962, le président de la République a demandé par référendum qu’il soit élu au suffrage universel direct, en utilisant l’article 11 de la Constitution et non l’article 89 de celle-ci. L’article 11 permet de soumettre au référendum des lois sur les pouvoirs publics, sur l’organisation des institutions ou encore sur les traités internationaux tandis que l’article 89 permet de soumettre une révision constitutionnelle au peuple mais après l’accord du Parlement réuni en Congrès. Ce choix a entraîné le renversement du gouvernement Pompidou par une motion de censure. Cette motion de censure est la seule de la Ve République à avoir réussi.
Dans la Constitution de la Ve République, le pouvoir exécutif est renforcé au détriment du pouvoir législatif. Le président a acquis des pouvoirs propres tels que le droit de dissolution de l’Assemblée nationale (article 12 de la Constitution), le droit de soumettre au peuple un référendum (article 11 de la Constitution), le pouvoir de nommer le Premier ministre (article 8 de la Constitution) ou encore le droit de message au Parlement (article 18 de la Constitution). En ce qui concerne le gouvernement, celui-ci détermine et mène la politique de la nation. Il dispose également du pouvoir réglementaire lui permettant de faire adopter des lois. Il fixe également les 3/4 des ordres du jour à l’Assemblée nationale.
Depuis la réforme constitutionnelle de
2001, le président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct (contre 7 ans auparavant). Il nomme le Premier ministre.

Le Parlement est constitué de l’Assemblée nationale, réunissant 577 députés, et du Sénat, comprenant actuellement 331 sénateurs (il y en aura 346 en 2010) élus pour six ans au suffrage indirect et renouvelé de moitié tous les trois ans (à partir de 2010). Les Français de l’étranger voient leurs intérêts défendus auprès du Parlement par l’Assemblée des Français de l’Étranger.

Géopolitique et puissance militaire


La France fait partie des cinq pays qui sont juridiquement reconnus comme « États dotés de l’arme nucléaire » par le traité de non-prolifération nucléaire. L’armée française est, avec celle du Royaume-Uni, l’une des plus dotées financièrement en Europe. En effet, à elles deux, elles représentent plus de 40 % des dépenses militaires de l’Union européenne. La France lui consacre 2,5 % de son PIB (pour un budget de 38 milliards d’euros en 2006), là ou ses homologues européens (hors Royaume-Uni et Grèce) y consacrent 1,5 % de leur PIB, d’après l’OTAN[11].
Les forces militaires sont divisées en quatre armées principales :
l’
Armée de terre,
la
Marine nationale,
l’
Armée de l’air,
la
Gendarmerie nationale.
Depuis
1996, l’armée est devenue professionnelle et le service militaire réduit à une journée d’appel (mixte). D’une capacité de plus de 330 000 hommes, elle est déployée à travers le monde notamment au Kosovo, en Côte d’Ivoire, dans ses territoires d’outre-mer, mais également au Moyen-Orient où elle assure un maintien de la paix, ou une sécurisation de ses moyens d’approvisionnement en pétrole notamment. Elle mobilise également plus de 1000 hommes dans le cadre du plan Vigipirate.



Géographie




La France est le 47e État par sa surface terrestre et le 2e par la surface de sa zone économique exclusive.
La
France métropolitaine est localisée en Europe occidentale (voir la liste de points extrêmes de la France). La France possède aussi des territoires, sous différents statuts administratifs, en dehors du territoire européen : en Amérique du Nord, dans les Antilles, en Amérique du Sud, dans l’océan Indien, dans le nord et le sud de l’océan Pacifique et en Antarctique. Elle partage en métropole 2970 km de frontières terrestres avec huit pays limitrophes : Espagne (650 km), Belgique (620 km), Suisse (572 km), Italie (515 km), Allemagne (450 km), Luxembourg (73 km), Andorre (57 km), Monaco (4,5 km). En Guyane, les frontières sont de 700 km[12] avec le Brésil et 520 km avec le Suriname. Une frontière longue de 10,2 km (mais non matérialisée) sur l’île de Saint-Martin aux Antilles, sépare la partie française de celle sous souveraineté des Pays-Bas. Enfin la Terre Adélie (TAAF) revendiquée par la France est enclavée dans une partie de l’Antarctique revendiquée par l’Australie.
Les côtes françaises présentent quatre façades maritimes tournées vers la
mer du Nord, la Manche, l’océan Atlantique et la mer Méditerranée, ce qui fait de la France un carrefour de cultures et de communications unique en Europe.
La France métropolitaine a une grande variété de paysages, entre les plaines côtières situées dans le nord et l’ouest et les chaînes de montagnes dans le sud-est (les
Alpes) et dans le sud-ouest (les Pyrénées). Les Alpes françaises possèdent le point le plus haut d’Europe de l’Ouest, le mont Blanc, qui culmine à 4 810 m. Il existe aussi d’autres régions montagneuses plus anciennes, telles le Massif central, le Jura, les Vosges, le massif armoricain et les Ardennes qui sont assez rocheuses et boisées. La France bénéficie également d’un réseau fluvial étendu qui est composé principalement par la Loire, le Rhône (source en Suisse), la Garonne (source en Espagne), la Seine et une partie des cours du Rhin, de la Meuse, et de la Moselle ainsi que la Somme, et la Vilaine qui constituent leurs propres bassins fluviaux